Les Chroniques de Maxime
Quand un artisan découvre la com’ digitale
Maxime est élagueur, il a 30 ans, trois employés, un apprenti… et une sainte horreur des trucs numériques. Pour lui, un client se gagne à la sueur du front, pas à coups de pixels ! Pourtant, comme beaucoup d’artisans, il commence à se demander s’il ne passe pas à côté de quelque chose
Dans cette bande dessinée humoristique (et un brin piquante), découvrez comment Maxime va vivre sa première rencontre avec le monde de la communication digitale. Une aventure pleine de mauvaise foi, d’amitié… et de prises de conscience qui pourraient bien parler à plus d’un indépendant !

Présentation
Maxime, 30 ans, artisan élagueur, dirige une petite entreprise dans le sud. Brun, type hispanique, il a trois employés, un apprenti, et un agenda toujours plein. Il vit au rythme des chantiers, des appels clients et des cafés avalés entre deux devis. Internet ? Il n’en voit pas l’utilité. Il a du boulot, il est recommandé, et les journées ne sont jamais assez longues. Bref, pour lui, “la com”, c’est pour ceux qui n’ont rien à faire de leurs dix doigts.
Le quotidien selon Maxime
Tous les jours, Maxime publie à la va-vite une ou deux photos de ses chantiers sur Instagram. Les descriptions sont souvent absentes ou bourrées de fautes. Il répond aux messages… quand il y pense. Il ne regarde jamais ses statistiques. Mais il est convaincu que “ça suffit bien” et que ses clients ne vont pas sur Internet de toute façon. Pourtant, son apprenti, lui, reçoit des demandes via TikTok pour de petits travaux.


L’événement déclencheur
Un jour, sur un chantier, Maxime perd une belle opportunité. Un cabinet d’architectes le cherche, tape son nom sur Google… et ne trouve rien. Pas de site. Pas d’avis clients. Juste un compte Instagram dormant. Le cabinet conclut qu’il n’est pas sérieux. Maxime ne saura jamais qu’il vient de perdre un contrat à 15 000 €. Mais son apprenti, lui, a vu passer l’annonce… et lui en parle.
Le doute s’installe
Maxime commence à se poser des questions. Il se sent à la fois agacé et intrigué. Pourquoi devrait-il “faire comme tout le monde” ? Est-ce qu’un site changerait vraiment quelque chose ? Il repense à ses clients fidèles, mais aussi à ceux qui ont disparu sans donner suite. Et si un site, bien conçu, devenait son outil de tri, d’attraction, de positionnement ?


La rencontre
Un soir, autour d’un apéro business club, Maxime rencontre un gars un peu geek, mais clair dans ses explications. Il parle de “site vitrine qui convertit”, de “présence stratégique”, et même de “soulager Maxime du blabla”. Et là… Maxime lève un sourcil. Parce que ce qu’il déteste le plus, c’est justement perdre du temps à répéter les mêmes choses à des clients pas toujours sérieux.
La prise de conscience
Maxime réalise que son compte Insta ne dit rien de ce qu’il fait vraiment. Aucun devis en ligne. Aucun formulaire. Aucune preuve de son sérieux. Aucun article pour rassurer ceux qui hésitent. Et surtout : aucune piste bien tracée pour les clients idéaux. Il comprend que l’enjeu n’est pas “d’avoir un site pour faire comme les autres”, mais d’installer un vrai système qui travaille pour lui.


Le déclic
C’est décidé. Maxime va s’offrir un vrai site internet. Pas un gadget. Un outil de terrain, comme sa tronçonneuse, comme son camion. Un système qui filtre, attire, rassure et vend. Un site qui lui fait gagner du temps et qui reflète vraiment son entreprise. Et ça, pour un gars comme Maxime… c’est un sacré changement de perspective.